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  • Nouvelle loi : les paysans définitivement la corde au cou des semenciers mondiaux

    • Le 05/12/2011

    "En supprimant le droit de resemer ses propres récoltes, et en obligeant à verser une somme aux semenciers, même si vous avez une semence paysanne, le gouvernement vient de voler les agriculteurs de la coutume la plus ancienne de l'humanité, transmettre à ses enfants le fruit de son travail de sélections aux générations futures.

    Au moins 500 générations d'homme ont sélectionné des plantes pour manger et en quelques années, certains de ces hommes volent ce patrimoine fondamental et inaliènable de l'humanité en créant des lois et des lobbies pour voler le commun des mortel au bénéfice de quelques grands possédants, mettant ainsi dans la loi la dépendance alimentaire des plus démunis.

    Cet immense scandale est lié à la déshumanisation programmée par les grands groupes mondiaux pour mieux écraser les populations humbles et de classe moyenne, que l'on retrouve avec les programmes "public privé" qui veulent imposer des sociétés mondiales dans toutes les opérations publiques comme fondement légal, avec donc l'obligation pour tout le public de se faire voler, que dis-je piller par des groupes comme VEOLIA et autre compagnie des eaux, lesquelles ne sont toujours pas inculpées malgré des reportages aussi remarquables que que "water maque money".

    Le système dictatorial des ces groupes est tel à ce jour que ces sociètés payent des dizaines de lobbiistes au niveau de tous les gouvernements (France, Europe, FMI, OMS, etc) pour proposer des petites lois nombreuses et vicieuses qui réduisent chaque jour les libertés d'action et de création de chacun d'entre nous, ils mettent en avant quelques lois visiblement douteuses qui mobilisent l'énergie des quelques personnes qui sont censées être des contrepouvoir comme les associations de consommateurs et des syndicats, et par derrière font passer toutes ces lois préfabriquées par la dictature financière mondiale.

    Faites passer et dites non en votant, mais surtout par vos actions quotidiennes d'achat local, de soutient aux associations de semences paysannes, amap et autres commentaires sur les bulletins d'expression de chaque magasin.

    Luc Meynard

    qui propose de visiter le site  http://www.bastamag.net/article1961.html

    et je propose de visiter le site "semences paysannes" !


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  • Indignons-nous

    • Le 20/11/2011

    Le mot est dur mais à la mode donc utilisons-le et surveillons ce mouvement mondial des indignés qui est peut-être un rebond car il me rappelle les prémices de l'année 68. Mouvement qui, aujourd'hui, semble avoir perdu tout sens et dont la nostalgie de cette révolution semble s'être éssoufflée. Et étouffée par ceux qui ont fait cette révolution; puisque nous voyons aujourd'hui des jeunes reprendre un flambeau oublié contre nos gouvernants englués et empêtrés dans la finance qui, elle même ne sait plus se sortir de cette folle fuite en avant. Le monde ouvrier et le peuple ne croit plus à rien et se sent floué.

     

    Les citadins doivent aider les paysans "prisonniers" des grands banquiers par l'intermédiaire des semenciers.

    Il faut privilégier les produits et les producteurs locaux car ces aliments ne sont pas "brevetés" par les industries alimentaires (producteurs de semences, fabricants de pesticides,etc - la liste est longue !). Ces investisseurs ruinent les petites exploitations agricoles soutenues par des "combattants de l'impossible" en faisant un travail remarquable par leurs actions volontairement méconnues mais d'une belle abnégation pour le bonheur et la préservation des individus.

    Visitez les sites suivants pour se donner une idée du combat inégal qui se joue actuellement :

    WWW.semences paysannes.org

    WWW.confederationpaysanne.fr

    www.arche-nonvioelence.eu     - La Borie Noble à Roqueredonde 34650 sur le Larzac.

     

    A suivre...

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  • Les Paysans

    • Le 24/08/2011

    Y a-t-il encore des paysans au sens noble du terme ?

    Certainement mais pas assez nombreux; et ces paysans-là sont heureux car ils vivent de leur exploitation sans la surexploiter, sans investir au-delà de leurs moyens, sans produire pour gagner beaucoup d'argent.

    Et ils ne disent rien !


    Depuis plus de vingt ans et chaque année les producteurs de fruits et légumes, les producteurs de viande ou de lait, les industriels cultivant des céréales et autres aliments falsifiés pour nourrir les affamés que nous sommes devenus, se plaignent, manifestent et sont reçus par le ministre de l'agriculture quel qu'il soit qui les calme et leur promet des aides.

    Alors on n'entend plus les doléances et ce n'est plus de la faute de l'autre si leur production est bradée, l'autre étant "les Espagnols ou les Italiens, la grande distribution ou les gouvernements en place...

    Les autoroutes sont bloquées par des tonnes de produits qui pourraient profiter à certains, ou les bâtiments publics sont pillés !

    Ces producteurs sont victimes des investisseurs qui leur promettent de faire de fabuleux profits à condition qu'ils achètent les technologies dernier cri. Mais ils n'ont pas compris que depuis plus de vingt ans c'est toujours le même scénario et qu'ils se font "tondre" par quelques faux prophètes qui récoltent, eux beaucoup de dividendes !

    Ils n'ont pas compris que leurs syndicat ménagent la chèvre et le choux, que les banquiers encaissent les agios, que les industriels modifient sans cesse leurs matèriels pour renouveler les stocks, que "la grande distribution" fait la pluie et beau temps pour le compte des investisseurs, que les nombreuses commissions siègeant dans les instances des différents gouvernements (Etat, Régions ou Europe) justifient leur présence rémunérées en changeant souvent les règles du jeu épuisant de ce fait nos Paysans qui ne peuvent plus suivre !

    Alors pour les calmer jusqu'à la saison d'aprés on leur promet la Lune et des primes par de beaux discours; et chacun repart tranquillement dans sa campagne car les échéances pourront être honorées. Et tout recommence l'année suivante.


    Mais il faudrait qu'ils arrêtent ces pauvres gens de se laisser rouler, enfariner; et qu'ils se prennent en main individuellement sans les syndicats, sans les banquiers, sans les élus, les marchands d'OGM et produits chimiques et autre prédateurs, en ne produisant plus que ce qui leur est nécessaire et vendant le surplus dans leur voisinage.

    Ou alors ces contestataires ont tout compris du système et ils manifestent pour arrondir leur fin de mois.

    "Je suis un pauv' paysan" disait Fernand Raynaud !

    je pense que le problème se trouve là !

    Et ils se moquent éperduement de produire sain même s'ils affirment que leur production industrielle est la meilleure en Europe; il n'y a qu'a analyser les nappes phréatiques pour se rendre compte que cette industrie agricole est néfaste.


    Mais on continue à aider ces gens pour avoir la paix sociale.


    Je connais un procédé très efficace et qui est appliqué à tous groupements contestataires que l'on ne peut pas éradiquer du fait de son utilité pour la socièté : c'est le principe de la grenouille et de l'eau chaude.

    On habitue les gens à un système pervers, mais ça marche alors on les arrose d'eau chaude pour les calmer mais sans trop les ébouillanter !  Et ils ne s'en rendent pas compte ! Et l'eau chaude est agréable à supporter !


     


    Si tout le monde allait acheter au producteur local !  Des produits bio ?


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  • "La cuisine paléolithique" de Joseph Delteil.

    • Le 20/07/2011

    Avant de rejoindre ma Thébaïde estivale !

     

    Je propose le seul livre de cuisine authentique et vrai que je conserve prés de moi pour ne pas tomber dans l'exagération des préparations de notre temps, pour éviter la facilité que nous offre cette modernité, qui voudrait que l'on ne réfléchisse plus à la façon dont on doit manger; qui veut que l'on consomme pour consommer, pour gaspiller.

    Lorsque j'étais "Petit homme" j'allais me promener, en vélo, vers la Tuillerie de Massane, route de Grabels. C'était loin, le bout du monde, au milieu des garrigues, sur le côteau bien exposé au soleil d'où l'on apercevait au loin le Peyrou, "Sainte Anne" et Montpellier rassemblée sur elle même !

    Un appel vers ce lieu aujourd'hui perdu dans les constructions, dans les paysages métallurgiques selon Joseph Delteil.

    Et plus tard j'ai découvert ce poète déluré. Plus tard, le titre de ce livre m'a attiré : "La cuisine paléolithique" ! Quelle idée ?

    Dans ce livre j'ai retrouvé mon enfance et les rites qui marquaient les manières de préparer la nourriture (pas de nostalgie ici).

    En retrouvant ce livre réédité je m'aperçois que nous sommes devenus des pinailleurs et des paresseux ! Tout est épuré, sophistiqué, mesuré, calibré, qualifié, facilité, compliqué... Bref on perd du temps à le gagner, formule connue. 

    Lorsque je passais devant le portail, toujours ouvert, je ne pensais pas que le paradis était si prés, mais je le sentais puisque j'aimais venir m'y perdre.


    Ce livre est à méditer sèrieusement car nous devons retrouver cette nourriture simple et magique, faites avec des produits sains, naturels. Le poète Joseph Delteil devrait inspirer tous les cuisiniers (professionnels et autres), ceux qui veulent épater leur galerie, ceux qui ont fait de notre cuisine patrimoniale une cuisine technologique, technique, qui ne nourrit pas mais qui aveugle, esbouffi son public.

    Certains écrivaient sur le fronton de leur mur "Connais-toi toi-même..."; Joseph Delteil avait écrit " Vivre de peu", inspiré par Confucius.

    Voilà la formule inspirante.

    Vivre de peu ne veut pas dire vivre dans la misère, non, c'est se contenter de la richesse du moment sans se perdre dans d'autres considérations matèrialistes.

    Voici un écologiste avant cette mode, avant gardiste dans sa simplicité.

     

    Ce petit livre est à lire et à relire, à relire encore entre les mots qui cachent d'autres mots, d'autres idées, par exemple : point d'or, grasal, boucle la boucle, pélican...


    Un livre de "cuisine brute" sans luxure.

    La cuisine paléolithique 1.pdf

    La cuisine paléolithique 2.pdf

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  • Le Livre Noir de l'Agriculture !

    • Le 27/06/2011

     

    P  O  I  N  T   d e    V  U  E

    s y n t h é t i q u e

     

    Voici pourquoi je ne voterais pas pour l'UMP,le PS, le Centre, ou "les" Centre, le PC et autres partis gauchisants, les Verts qui se chamaillent comme des collègiens, le FN et sa démagogie outrancière, bref tous les partis qui se partagent et détiennent ou favorisent un certain pouvoir de la Cinquième République détournée de son origine, parce qu'ils n'ont pas le courage d'arrêter ce que je considère comme un massacre de notre terroir, de la TERRE; parce qu'ils vivent grassement  aux ordres d'un procédé mafieux organisé par les lobbies industriels et bancaires.

     

    "Le Livre Noir de l'Agriculture" (Isabelle Saporta - Fayard) fait partie de ces livres qui dénoncent l'empoisonnement du peuple par l'enrichissement de certains sous l'oeil bienveillant et satisfait de nos élus de tous bords (élus pour nous protéger des prédateurs) qui nous font croire en la vertu du Grenelle de l'Environnement véritable panacée qui enfume les électeurs en mal d'écologie durable.

    Extraits choisis du livre :

    "...Plus tu t'agrandis, plus tu libéralises le marché, plus tu pousses les grands groupes alimentaires à développer leurs productions et à s'exporter où ils veulent... l'agriculture intensive répond aux besoins de l'industrie et se contrefiche de l'environnement comme des éleveurs... Tant que les coopératives gagneront plus de fric à vendre des phytos qu'à faire du bio elles ne s'occuperont pas de nous..."

    Il faudrait un courageux décret gouvernemental qui interdirait en le dissolvant le grand et puissant syndicat de la FNSEA (fédération nationale des syndicats des exploitants agricoles); la gangrène de nos paysans, de nos agriculteurs, de notre terroir.

    Car le but premier d'un syndicat est de défendre, de protéger ses adhérents, hors, actuellement les dirigeants de cette fédération utilisent la force de ce groupe pour promouvoir et enrichir l'ndustrie agroalimentaire qui fait d'énormes profits sur le dos de nos paysans qui polluent les terres et ruinent notre santé.

    En ayant la malice de faire voter des aides financières pour maintenir la trésorie des paysans endettés de façon à ne pas leur laisser le temps d'avoir trop de profits mais leur laissant l'espoir de gagner de l'argent s'ils investissent dans de nouvelles formes de travail, de produits, etc...

    Et revoilà le temps des SERFS, car le paysan a perdu sa liberté et son intégrité.

    L'utopie est nécessaire pour changer, la dernière page (250) de ce livre semble aujourd'hui utopique mais va s'avérer indispensable à brève échéance.

  • GALIMAFRATIAS

    • Le 22/06/2011

    Galimafrée, galimatias ?

    la galimafrée est un plat fait de restes* de repas que l'on sert pour ne pas gaspiller ! On mange donc quelque chose qui ne correspond pas au plaisir ! Mais comme il faut manger et que l'on ne veut pas jeter, on essaie de faire en sorte que ce soit bon. Le galimatias est un discours faits de mots incompréhensibles pour qui ne fait pas l'effort de comprendre. 

    *Restes de viandes qu'il faut améliorer grâce à des légumes* ou plutôt des végétaux ce qui confirme mon idée de suprimer la viande des repas ou du moins en réduire l'utilisation

    *Végétal est pour moi beaucoup plus noble que le mot légumes qui devient péjoratif : dans l'évolution il y a le minéral, le végétal et l'animal...

    Voilà déjà, dans le texte ci-dessus, un début de "galimafratias" !

     

     

     

    Le pouvoir latéral, qu'est-ce que le "pouvoir latéral" ?

    C'est l'ouverture des esprits grâce aux liens sociaux qui s'étendent de plus en plus : la toile fait peur mais elle peut aussi sauver les peuples des dictatures de tout bord.

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